Je vous fais le schéma: une victime est sur son lit de souffrance, une jambe en moins par exemple. Elle se dit: "comment vais-je assumer mes obligations financières si je ne peux plus faire mon travail? Et mes enfants, leur avenir? Comment peut-on m'aider et qui?
Tout un tas de questions en suspens, indépendamment des soucis médicaux qui sont aussi très présent.
Le problème peut ressembler à une pelote de laine bien serrée dont on n'a pas repéré le fil qui dépasse.
La facilité est de se dire "les assurances vont gérer, elles savent". Juste que les assurances ne vivent pas à la place de la victime, et si la victime ne s'aide pas, on va rentrer dans des complications qui n'ont pas lieu d'être.
La victime n'a pas à être "comme une coquille de noix ballottée dans l'océan juridique".
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