mardi 24 avril 2018

Un livre pour les victimes!

Pourquoi faire un livre pour les victimes?

N'y a-t-il pas assez d'aide, d'associations, de sites internets, d'avocats, de juristes?
Les assurances n'assurent-elles pas leur boulot quand il y a un accident de voiture? 
L'expert n'est-il pas compétent... expert?
L'avocat ne pilote-t-il pas le tout? 

Parlons des associations: elles fournissent souvent un conseil rapide, parfois judicieux, mais la victime sort de son conseil en sachant parfois moins gérer qu'avant;

Les avocats: cela  peut arriver qu'ils disent "vous n'avez rien à faire, je m'occupe de tout, vous recevrez juste votre chèque". Grosse erreur, ce n'est pas leur accident, la victime se doit d'être un peu briefée sur la procédure afin de ne pas perdre pied et superviser le tout; si on compte sur sa bonne volonté et une compréhension simple, c'est plus facile pour tout le monde.

Les assurances: ce ne sont pas des œuvres de charité.  Elles font leur travail mais il faut veiller au grain, car si on ne leur dit pas qu'on est allé chez l'ostéopathe, qu'on a eu une anesthésie générale avec preuves à l'appui, elles ne vont pas l'inventer.

L'expert: comment résumer un accident avec préjudice, en établissant des conclusions qui se tiennent  en une heure? Soyons sérieux: il faut que la victime ait préparé un dossier cohérent, connaisse les papiers à récupérer pour l'expert. 

Ce livre sera là pour faciliter le processus de la réparation juridique.
Une juste indemnisation commence par "une victime informée en vaut deux". 


mardi 17 avril 2018

MédecinDirect – Qu’est-ce que le « médecin de recours » ?

Médecine de recours, ou conseil de blessé : point sur une spécialité médicale peu connue.

Le médecin de recours, ou conseil de blessé peut intervenir à plusieurs niveaux.
  • Lorsqu’une « victime » veut une aide pour préparer son dossier, en vue d’une expertise médicale,
  • 
Quand un patient veut savoir si son expertise a bien été évaluée et s’il doit effectuer une contre-expertise (ou non),
  • 
Si un patient qui a subi des coups et blessures ne sait pas quelles démarches effectuer,
  • Lorsqu’un patient estime avoir été victime d’une erreur médicale et qu’il souhaite être aidé dans la marche à suivre,
  • 
Si un patient a des problèmes de reconnaissance d’arrêts de travail au niveau de la Sécurité sociale ou d’autres tracasseries administratives relevant de celle-ci,
  • Lorsqu’un patient veut savoir si les soins qu’il a reçus sont cohérents et adaptés à son état.

Le médecin de recours, ou conseil de blessé, peut aussi réaliser une expertise sur dossier, lors d’un décès ou d’un coma par exemple. Il oriente les patients selon les cas chez un avocat, une assurance, le fonds de Garantie, les Commissions de Conciliation et d’Indemnisation ou peut leur expliquer simplement ce qu’ils n’ont pas compris de façon à ce qu’ils soient orientés, rassurés et accompagnés comme il se doit.

Voici quelques exemples de questions que vous pouvez poser à un médecin de recours :
  • « J’ai eu une expertise et on m’a donné 3 %. Que pensez-vous du taux ? »
  • « Puis-je être remboursé pour le sport que je ne peux plus pratiquer ? »
  • « Je suis invalide à 5 %, comment me défendre ? »
  • « Je viens d’avoir un accident de voiture, comment m’en sortir avec les assurances ? »
  • « J’ai été victime d’une erreur médicale, comment faire valoir mes droits ? »
  • « Je suis très handicapé, suite à un accident. L’assurance me propose 1500 euros, cela correspond-il à mon dommage ? »
  • « Le chien du voisin m’a mordu et j’ai une vilaine cicatrice. Comment procéder ? »
  • « À la suite d’un grave accident, je n’ai plus de revenu. Comment m’en sortir ? »
https://www.medecindirect.fr/20180411-medecin-de-recours/



jeudi 5 avril 2018

Un plat de pâtes calme

Une de mes victimes en expertise a trouvé un médecin agressif.  Moi non, la discussion était courtoise. 

Alors pour donner raison à ma victime tout en défendant l'expert j'ai tenu ce raisonnement: 
"Mais madame, si vous l'avez trouvé  un peu agressif, ce n'était sûrement pas contre vous! Je vais tout vous expliquer: il était 1 heure de l'après-midi, il n'avait pas encore déjeuné. Alors sa glycémie était au plus bas. Et ça peut  rendre  grognon ceci. 
Vous savez bien que quand un mari se met en colère en rentrant du travail il faut vite le mettre devant un plat de pâtes ou de riz, ensuite on peut discuter plus calmement!"

La victime était hilare, et est repartie rassérénée! 

Et ce conseil vaut pour toutes celles qui retrouvent leur mari irascible le soir!

Faut-il que je prépare des petites douceurs aux experts, qu'ils les grignotent tout en examinant mes victimes? 


mardi 3 avril 2018

Pitié ne signez pas sans conseil!

Bonjour!

Une de mes victimes mal conseillée a signé la proposition d'indemnisation de l'assurance. Quand on a vu l'avocat, celui-ci a sauté en l'air et lui a démontré par A+B  qu'il "s'était fait couillonné". 

C'est on ne peut plus difficile de revenir en arrière une fois qu'on a signé. 
L'avocat va devoir user de tout son savoir et de tout son talent pour trouver une petite porte entrebâillée et s'y engouffrer. 

On peut ré-ouvrir le dossier en aggravation,  mais si tout n'a pas été pris en compte lors de l'expertise, on  peut s'asseoir dessus.

Prenons un exemple: une jolie jeune femme a un accident de voiture, elle boite suite à une fracture de hanche, et a une plaie au visage. Comme la fracture n'a pas été décelée à temps, elle n'a pas été notée sur le certificat médical initial. 
Comment l'expert va-t-il savoir un an après que la fracture est dûe à l'accident? Il n'en tient pas compte et ne demande pas d'examens complémentaires. 

La jeune femme signe la proposition d'indemnisation portant sur la vilaine cicatrice au visage qui l'empêche de conserver son emploi d'hôtesse. 

Mais elle boite toujours et vient me consulter: Mission (presque impossible), le dossier est clos.

Alors: demandez conseil auprès d'un professionnel de victimes. Sinon vous courez  à la catastrophe.

mercredi 28 mars 2018

J'ai pratiqué la fake médecine

Une des raisons pour laquelle j'ai arrêté la médecine générale est celle-ci: 
quand un patient venait pour une douleur quelconque, je l'interrogeais bien évidemment, je l'examinais et puis je regardais les pieds.
On a la carte du corps dans ceux-ci. En massant ceux-ci, en trouvant des points précis je pouvais dire "ça c'est l'estomac, la rate, le foie..."
Ca bluffait les patients sauf ceux qui me connaissaient, ça leur calmait les douleurs, et surtout cela m'aidait à orienter les examens para-cliniques lorsqu'ils étaient nécessaires. 
Et parfois c'était frustrant: je portais le diagnostic, mais sous prétexte que la reflexologie plantaire n'est pas une spécialité reconnue par le corps médical, je finissais par une echographie ou une radio, une IRM selon la situation. 

Pour écrire franchement, je n'ai jamais fait mon coming out, jamais clamé que je faisais de la médecine alternative, et en conséquence ces médecins qui poursuivent les "fake médecins" ne me poursuivent pas. 
J'en suis frustrée. 

Evidemment que la médecine alternative a des limites: j'étais en train de dire à un patient qui avait des sueurs froides en souffrant épouvantablement: "c'est la vésicule monsieur, il faut courir vite aux urgences", et c'était un petit cancer du colon, en superposition avec la vésicule! 
Alors je ne cracherai jamais sur toute mes connaissances médicales traditionnelles mais qu'on nous laisse une soupape de sécurité pour soulager les patients, avec le moins de médication possible. 

lundi 19 mars 2018

Des médecins et professionnels de la santé signent une tribune contre les médecines alternatives comme l'homéopathie

L'homéopathie ? Une "discipline ésotérique". Quelque 124 médecins et professionnels de santé signent, lundi 19 mars, une tribune publiée dans Le Figaro contre l'utilisation de médecines alternatives. "Le collectif demande l'exclusion de ces disciplines ésotériques du champ médical", explique le quotidien. Les signataires décrivent des disciplines "sans aucun fondement scientifique", "nourries par des charlatans" et "basées sur des croyances promettant une guérison miraculeuse".

Les auteurs de ce texte pointent tout particulièrement du doigt trois risques dans l'utilisation de ces médecines alternatives. Tout d'abord, "elles soignent l'inutile en surmédicalisant la population", écrivent-ils. Elles installent ensuite une "défiance" vis-à-vis de la médecine "conventionnelle" et enfin, elles "retardent les diagnostics".

Le collectif formule plusieurs demandes

Face à leur utilisation par des médecins, dans des hôpitaux ou dans les facultés de médecine, ainsi qu'à leur prise en charge par l'assurance-maladie, le collectif fait plusieurs demandes à l'attention du "Conseil de l'ordre des médecins et [des] pouvoirs publics". Il s'agit de "ne plus autoriser à faire état de leur titre les médecins ou professionnels de santé qui continuent à les promouvoir", "ne plus reconnaître" ces pratiques comme médicales, ne plus les enseigner dans les formations, ne plus les rembourser, mieux informer sur leurs effets et enfin exiger des professionnels de s'en écarter.
https://www.francetvinfo.fr/sante/medicament/des-medecins-et-professionnels-de-la-sante-signent-une-tribune-contre-les-medecines-alternatives-comme-l-homeopathie_2664248.html

Au secours, la pensée unique prend de l'ampleur! Que vont devenir les pitchounets à qui l'on donne chamomilla pour les maux dentaires, apis pour les allergies?

Une seule solution: que l'homéopathie soit conseillée par tous ces "charlatans", soigneurs de tous poils chez qui les patients vont se précipiter.

Car au pire, même si c'est de l'effet placebo, celui-ci soigne parfois très efficacement.
Ne l'oublions pas; on en a même fait mention rapidement au cours de mes études.




mardi 13 mars 2018

La médecine à distance



Elle fait polémique.

Quels sont les arguments des détracteurs?

Le médecin ne voit pas le patient, il ne le touche pas, il ne peut pas donc diagnostiquer avec tous les éléments.

Il pourrait être remplacé par un robot cela serait pareil. Dans certains films d'anticipation d'ailleurs, c'est ce qui arrive.
Cela déshumanise l'acte médical.

Les arguments de la défense:


-les médecins en cabinet  surmenés n'ont plus le temps de répondre à toutes les questions, parfois ils acceptent de traiter un problème (la pilule) la cheville foulée passera dans une autre consultation.
-Les déserts médicaux s'agrandissent, il faut répondre à une certaine demande qui est réelle.
-Que de consultations téléphoniques nos anciens traitaient! Gratuitement évidemment, c'était un service inclus dans le sacerdoce du médecin. Actuellement il existe des plate-forme téléphonique qui font barrage et le patient n'a plus que rarement la possibilité de se aire conseiller par son médecin.
-L'ARS reconnaît l'utilité des consultations à distance et envisage même un mode de rémunération pour les médecins installés.
-Les médecins du SAMU ont l'habitude de prendre des décisions sans voir le patient, ils font de la télé-consultation, même s'ils sont aidés parfois par les pompiers, ou le médecin traitant.
-Le monde change, les gens sont de plus en plus connectés, il ne faut pas rester dans les schémas d'antan.
-Il est évident que pour une maladie appelant un diagnostic précis, une auscultation s'impose: par exemple pour un décollement de plèvre c'est très important. Tous les télé-médecins en ont conscience.
- Les télémédecins ont en général une grande connaissance du terrain, ils ne travaillent pas à temps complet en télémédecine, ou bien ils sont retraités, ou pratique une autre médecine comme moi, le recours. 

Les deux façons d'exercer ce métier doivent cohabiter pour le plus grand bénéfice des patients.

mercredi 7 mars 2018

Un livre pour les victimes?

Quand nous avons décidé de divorcer avec mon ancien mari, il y a fort longtemps, je suis allée directement à la bibliothèque me procurer  "Le Guide Du Nouveau Divorce". 
Une femme avertie en vaut deux. 
J'en ai tiré des très judicieux  conseils fort utiles au sujet des gardes d'enfants et autres points que j'estimais importants. Mon mari ne  l'ayant pas lu, s'était rangé à mon avis, pour ma bonne fortune. 

Que penseriez-vous, si vous étiez victime de dommage corporel, peu importe les circonstances, d'un recueil que vous pourriez vous procurer afin de savoir quoi faire, pour connaître vos droits, où tout est balisé? 
Et surtout si ce recueil était compréhensible par tous,  loin de toute la terminologie juridique à laquelle personne ne comprend sauf à étudier le droit?  Et  que  l'on n'aurait pas besoin d'avoir un QI à 140 pour saisir le sens de la moindre phrase? 


Dites que vous en rêvez? 
Qui sait? 
Les victimes ont des droits, mais elles ne les connaissent pas. Le "nul n'est censé ignorer la loi" est impossible pour tout un chacun, sauf pour des juristes. 


vendredi 2 mars 2018

Une situation frustrante

Rien n'est plus stressant pour un médecin de ne pas savoir quoi faire: 
Une de mes patientes il y a 15 ans, très jolie jeune femme sympathique, avait eu la main bousillée dans une presse, le système de sécurité était en panne. Elle n'avait pas su se débrouiller pour son indemnisation, n'avait pas pris un avocat et n'avait aucune notion qu'il existait un médecin de recours.
Je l'aidais au niveau médical mais elle avait aussi perdu son travail,  et le moral flanchait. 
Et je me sentais absolument démunie. 

Avec ma formation de médecin de recours, nous serions parties au charbon! Elle aurait eu son procès,  gagné contre son patron en faisant jouer la faute inexcusable, aurait eu son   expertise  et aurait pu aussi être financée pour une autre formation. 
Mais quand on est généraliste il y a tellement de choses  à apprendre, le médico-juridique est le parent pauvre, les cours en faculté sur ce sujet étaient inexistants. 

En comparaison les infirmières en apprennent beaucoup plus que nous.


jeudi 1 mars 2018

Les médicaments dans l'angle mort de la dépendance

Les accros aux cachets passent souvent sous le radar des systèmes de prévention des risques professionnels. Les travailleuses seraient les principales victimes de cette addiction, selon les experts.

Etes-vous dépendant à l'alcool? Au tabac? Au cannabis? Aux jeux d'argent? A Facebook? Au sexe? La plateforme Addict Aide, lancée le 27 novembre par le Fonds actions addictions propose des tests anonymes pour faire l'état des lieux de vos dépendances.

mercredi 28 février 2018

La télémédecine bientôt remboursée par la Sécurité sociale

Après plusieurs années d'expérimentations locales, le gouvernement a décidé d'ajouter la télémédecine à la liste des actes remboursés par la Sécurité sociale au niveau national. Pour y parvenir, une négociation est organisée à partir du jeudi 18 janvier entre les cinq syndicats représentatifs des médecins libéraux (Confédération des syndicats de médecins français (CSMF), la fédération des médecins de France (FMF), le syndicat des médecins libéraux (SML), la Fédération française des médecins généralistes (MG France) et la Caisse nationale d'Assurance-maladie des travailleurs salariés (CNAMTS). 
L’objectif ? S’accorder sur les modalités pratiques et les tarifs de la téléconsultation (un examen médical par visioconférence) et de la télé-expertise (une demande d'avis entre praticiens) tel que souhaité dans les orientations fixées par la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, dans un courrier adressé au directeur général de l’Assurance-maladie, Nicolas Revel.  
A noter que la télésurveillance, utilisée pour le suivi des malades chroniques, et qui fait également partie de la télémédecine – désignant en principe tous les actes médicaux réalisés à distance, au moyen d’un dispositif utilisant les technologies de l’information et de la communication tels que webcam, courriel, etc. –  sera exclue des pourparlers.

La téléconsultation, pilier de la lutte contre les déserts médicaux 

Si le gouvernement veut permettre le remboursement de la téléconsultation et ainsi favoriser son développement, c’est qu’il veut l’ériger en pilier dans son plan de lutte contre les déserts médicaux. Ses prédictions budgétaires tablent sur 500 000 actes en 2019, un million en 2020, puis 1,3 million en 2021.
Pourtant le pari est loin d'être gagné: moins de 260 000 actes de télémédecine – de toutes sortes – ont été réalisés en 2015, selon la Cour des comptes. Plus embarrassant, l'institution estimait en septembre que, depuis la première téléconsultation entre les hôpitaux de Toulouse et de Rodez en 1989, les "multiples expérimentations engagées sans ordre ni méthode" n'ont "débouché que sur des résultats très modestes". Raison pour laquelle le gouvernement mise à présent sur les médecins libéraux, dont les syndicats ont déjà commencé à faire monter les enchères.

Combien coûtera une téléconsultation ?

Le président du SML, Philippe Vermesch, réclame "une rémunération réellement incitative pour les actes", ainsi qu'"un forfait pour financer les équipements" technologiques et une formation "offerte" pour apprendre à s'en servir. Son homologue de la CSMF, Jean-Paul Ortiz, estime quant à lui qu’ "un avis ponctuel et court doit être valorisé au minimum sur le tarif de la consultation de base", soit 25 euros, voire davantage "pour un examen approfondi sur la base d'un dossier complet" et demande également "des aides à l'équipement et à la formation". Du côté des médecins généralistes, MG France revendique la prise en compte du "téléconseil", c'est-à-dire des "coups de fil" passés "au quotidien" à leurs patients, selon le président du syndicat Jacques Battistoni, qui veut aussi être "rémunéré au même niveau" que les spécialistes pour la télé-expertise.

Un texte avant fin 2018

Pour sa part, le directeur de l’Assurance maladie, Nicolas Revel, a affirmé qu’ "une téléconsultation a vocation à être rémunérée comme une consultation classique". Ce qui correspond partiellement aux orientations de Mme Buzyn qui avait ouvert  la porte à des "incitations spécifiques" pour certains médecins et à des actes en situation d'urgence.
(...)
https://www.francetvinfo.fr/sante/patient/droits-et-demarches/la-telemedecine-bientot-remboursee-par-la-securite-sociale_2566557.html
Pourquoi pas! J'aurais substantiellement amélioré mes honoraires si j'avais pu facturé mes consultations téléphoniques. 
Mais cela ne retirera pas la question , ni fera avancer le débat sur "pourquoi les médecins ne veulent-ils plus s'installer?"

mardi 27 février 2018

Coup de gueule

Parfois des "mauvais génies"  conseillent aux victimes: 
- Dites que vous ne pouvez plus avoir de rapports sexuels, c'est invérifiable;
- Dites que vous faites sur sport, vous n'en faites pas? Dites-le quand même, l'accident sera mieux remboursé;
- Dites que c'est pire que ce que vous êtes, vous ne sortez plus de chez vous tellement vous souffrez 
- Surtout ne bougez pas de cette façon et comme ça, évitez de vous baisser, de vous lever, de lever les bras, etc. l'expert verrait que vous allez mieux.

Encore une fois, je l'ai déjà souligné, les experts ne sont pas des cruches, ils ont d'autres défauts bien entendu (!) mais ils sentent si on les mène en bateau.

Que veut une victime? Gagner le plus de blé et emm.er la société? Pour certains rares, oui.
Les autres veulent se reconstruire et passer au dessus et au delà  de leur histoire éprouvante. Et si l'expert est un tout petit peu sévère mais compréhensif, tout ira tout seul, ils se sentiront compris, le médecin de victime pourra aider la victime en améliorant  certains postes de préjudice en douceur.  

Mais l'expertise n'a pas à se transformer en ring, ce n'est pas ma philosophie. Et si on n'est pas d'accord, on peut toujours aller en contre-expertise. 



dimanche 25 février 2018

Xarelto


 Laboratoires Bayer
Je suis consterné, horrifié, je connaissais l’affaire du XYKLON B du congloméra « IG Farben », avec ce gaz ayant été utilisé pour l’extermination des juifs, entre autres, mais, je ne m’étais jamais documenté sur les expérimentations sur des cobayes humains pendant cette période de guerre.
En effet, en 1943 le laboratoire Bayer IG Farben marchandait le prix d’un lot de 150 femmes du camp de concentration d’Auschwitz pour l’essai d’un nouveau traitement.
À noter, que suite à l’essai toutes ces femmes étaient décédées, en conséquence Bayer demandait un nouveau lot de 150 femmes à 170 mark le « cobaye » en bonne santé pour continuer de les envoyer vers la mort !
Depuis le procès de Nuremberg avec pour les protagonistes de ces expériences, des peines de prisons très légères. Les expérimentations continuent sous d’autres formes, principalement en France où ces expériences grandeurs natures sont sans contrôles sérieux, et peu ou pas réprimés par une Justice aux ordres de la chimie Internationale.
La France est un territoire de non-droit pour des essais grandeur nature, par des Entreprises spécialisées comme Biotrial à Rennes, mais aussi avec d’autres essais de cette firme Allemande avec : Bayerma, Staltor, Cholstat, Baycol, Xarelto, Etc,
Les laboratoires Bayer continuent ces expérimentations dangereuses en toute impunité, seule différence avec 1943, ils ne payent plus pour avoir des cobayes !
Le XARELTO sous « surveillance renforcée » de qui par qui ? Le XARELTO, semble être le nouveau médicament testé grandeur nature sur les français avec un bon remboursement par cette « Sécurité Sociale » devenue depuis sa création complètement obsolète et aveugle. C’est en raison d’un nombre de témoignages anormalement élevés reçus par l’AAAVAM que je me pose des questions.
Notre Association demande à Madame Agnès Buzyn Ministre de la Santé la mise en place immédiate d’une « pharmacovigilance » en temps réel grâce aux données des Caisses d’Assurances Maladies.
Les faits sont tellement effroyables que les journalistes restent silencieux, sur les expérimentations de médicaments sur des patients et des cobayes sains.

Association D'Aide Aux Victimes des Accidents de Médicaments
Tél. 01 41 10 87 00 

www.aaavam.eu
je me suis toujours méfiée de ce médicament pour lequel il n'existe pas d'antidote. A suivre.

jeudi 22 février 2018

Le nombre d'arrêts maladie repart en forte hausse selon la Sécurité sociale

Les frais d'arrêts maladie se sont envolés de 5,2 % l'an dernier et ont coûté 10,3 milliards à la Sécurité sociale. Sur le seul mois de janvier 2018, la hausse atteint 8 %.Explications.
Un clignotant de l'assurance maladie est en train de virer au rouge. Selon les données de la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam), le nombre d'arrêts de travail a bondi de 5,2 % en 2017 et même de 8 % sur le seul mois de janvier 2018. Certes le mois dernier a été marqué par des épisodes de grippe et de gastro-entérite mais la tendance de fond est clairement à une hausse des arrêts maladies.
La conséquence immédiate reste l'envolée du coût pour l'assurance maladie (+5,2%) puisqu'en 2017, elle aura consacré 10,3 milliards d'euros à couvrir ce risque. Un dérapage bien au-delà des objectifs que s'était fixée la Cnam pour 2017. L'assurance maladie avait souhaité limiter la hausse à 3,2 % en mettant notamment en place des actions de sensibilisation à destination des médecins qui s'avèrent être de gros prescripteurs d'arrêts maladie. (...°
https://www.ladepeche.fr/article/2018/02/22/2747284-nombre-arrets-maladie-repart-forte-hausse-selon-securite-sociale.html
Alors là je le confirme! J'ai extrêmement été bien sensibilisée! Le directeur de la CPAM a fait de l'excellent travail avec moi! Je ne suis plus prescriptrice du tout. C'est allé au delà de ses espérances!
Et la santé des français, et leur stress? Questions secondaires tout simplement. 
On ne tape pas sur la mal-bouffe, sur les pesticides, c'est tellement plus simple de soigner les effets plutôt que les causes!

mardi 20 février 2018

Entre assurances c'est plus rapide

Parfois les victimes d'accident de la route me déclarent: "j'ai porté plainte.
- Ah bon?
-Oui, je suis allé  à la gendarmerie et ils m'ont transmis un papier".
Je regarde ce papier, il s'agit juste d'un "certificat d'accident de voiture".

On ne porte plus plainte en France depuis déjà quelques temps pour un accident de voiture. "La route c'est dangereux" et on ne va pas mettre en prison tous les auteurs. Cela se passe entre assurances.

On peut quand même porter plainte, si
- on est très fâché,
- on est mal conseillé;
- on pense qu'on récupérera plus si on le fait: mauvaise pioche.

Si le conducteur n'a pas bu, ne s'est pas drogué, n'a pas mangé ou envoyé des SMS en conduisant, ne s'est pas fait faire une "petite gâterie" par sa compagne en conduisant (véridique), les assurances managent tout.

Et c'est balisé, relativement rapide, et "un mauvais accord vaut mieux qu'un bon procès".

Par contre, si on porte plainte... il vaut mieux avoir un excellent avocat qui demandera des provisions régulièrement, car il faut s'armer de patience.

On a toujours le choix.
Et si on est fâché contre l'auteur, posons nous les questions: n'ai-je jamais téléphoné ou envoyé mi-même  des SMS au volant? n'avons-nous pas bu un verre de trop? Les autres questions sont selon le vécu de chacun.

vendredi 9 février 2018

Il voulait faire maigrir les patients et renflouer son porte-monnaie

Le protocole interdit en France a été pratiqué à tour de bras par ce chirurgien qui falsifiait des documents pour obtenir le remboursement de ses patients par l'assurance maladie. L'un d'eux a failli perdre la vie à la suite de ces pratiques.

Les enquêteurs dénombrent jusque-là 515 victimes, relatent Le Parisien et Le Figaro. Mais il pourrait y en avoir d'autres. Olivier M. spécialiste de l'obésité pratiquait depuis 2013 un protocole interdit en France consistant a injecter dans l'estomac de "l'acide hyaluronique" pour couper la sensation de faim des patients. Double souci, cette technique est à la fois inefficace puisque son effet s'estompe dans le temps, mais surtout elle met en danger la vie des patients.

mercredi 7 février 2018

De l'utilité d'un avocat 1

Une de mes victimes s'était broyée le pied dans une machine dans son entreprise: accident de travail, il n'a pas perdu ses indemnités journalières.
Mais l'appareil a été inspecté par une commission et il a été conclu que l'employeur n'avait pas bien entretenu la machine: cela a été requalifié en accident de travail avec faute inexcusable de l'employeur: non seulement les indemnités ont été maintenu mais plusieurs postes de préjudices ont été pris en compte (souffrances endurées etc.)
J'ai accompagné la victime à l'expertise, me suis battue avec l'expert du mieux que je le pouvais.
Mais tout ce temps je suppliais la victime "prenez un avocat".  "Non, je n'ai pas les sous".

Il y a trois ans, rien n'a avancé, la victime n'a encore rien touché.
Il faut savoir que si la victime ne prend pas un avocat, c'est son choix, mais l'employeur en avait un, et un bon et ça traîne... 

jeudi 1 février 2018

"Le cas Guadeloupe" dans le réseau routier de demain


La Guadeloupe est l’une des régions les plus meurtrières du territoire français. De nombreux acteurs locaux se mobilisent pour sensibiliser les gens aux nombreux dangers de son réseau routier. D’autant que les prévisions pour les prochaines années ne sont pas plus optimistes, et ce, malgré les nouvelles réformes prévues par le gouvernement. Mieux vaut être prévoyant et bien se protéger face aux aléas de la route.


Une région des plus meurtrières
Le projet 57
Une nouvelle législation qui pose des questions
Être plus prévoyant face à la route


En 2016, le ministère de l’Intérieur a recensé pas moins de 323 accidents de la route en Guadeloupe.

Parmi ces accidents, 57 personnes ont trouvé la mort, ce sont 17 de plus qu’en 2015. Cela représente près de 8% de morts pour 1000 habitants recensés, soit quatre fois plus que la moyenne des autres régions en France qui est de 2,7%.

De la même manière, 246 personnes ont été blessées gravement lors de ces mêmes accidents de la route. Cela représente 34,4% de blessés graves pour 1000 habitants recensés. La moyenne des régions étant de 1035 pour seulement 21,2%.

Les chiffres sont éloquents et placent la Guadeloupe dans le top 3 des régions françaises où les routes sont les plus meurtrières (1 Guyane, 2 Guadeloupe, 3 Corse).

Il est d’autant plus compliqué d’être optimiste face à une telle situation, que la majorité de ces accidents sont survenus dans des conditions de conduite favorables. À savoir que 53,6% d’entre eux ont eu lieu en plein jour dans des conditions de circulations « normales » pour 88,5% (ni pluie, ni brouillard etc).


Le projet 57 est une exposition à l’initiative de l’association de sensibilisation des dangers de la route et ses conséquences, Waren Errin. Il fait collaborer le cabinet Copets avocats, le collectif Art-way, la CCI des îles de Guadeloupe et la Ville de Pointe-à-Pitre qui accueille la manifestation.

Cette exposition met en avant le nombre 57 pour le nombre de morts sur les routes en 2016, mais également pour le nombre d’acteurs de la société civile témoignant au travers des 57 œuvres réalisées pour l’occasion par 42 artistes contemporains.

L’exposition « projet 57 » a pour objectif de faire la promotion d’un livre éponyme vendu au tarif préférentiel de 20€. Tous les bénéfices de l’ouvrage (et de l’événement) sont redistribués à l’association Waren Errin. L’idée étant de sensibiliser les individus aux dangers des routes de Guadeloupe afin qu’ils soient conscients des nombreuses conséquences que peuvent avoir un accident.


Afin de réduire les accidents mortels sur la route, qui impliquent dans la majorité des cas 2 véhicules, l’état souhaite abaisser la limitation de vitesse de 90 à 80km/h sur les réseaux secondaires. Cela concerne toutes les routes à double sens sans terre-plein central, autrement dit la plupart des routes nationales.

L’objectif de cette nouvelle législation est de « sauver des vies », selon le Premier ministre Edouard Philippe. Appuyée par les associations de sécurité routière, cette mesure ne fait pas l’unanimité notamment auprès des associations d’automobilistes et de motards. D’autant que le gouvernement ne souhaite pas s’arrêter là et prévoit de mettre en place par la suite une vingtaine d’autres mesures.

Mais aussi louable soit-elle, cette nouvelle mesure ne va t’elle pas avoir un effet néfaste pour les automobilistes ? En effet, ne vaut-il mieux pas être mort suite à un accident de la route que handicaper ou grièvement blessé pour le restant de sa vie ? Certes, cette constatation est peu correcte à avancer, et pourtant...

Comme l’a indiqué le gouvernement, l’idée principale de la réforme sur la limitation à 80km/h est « de faire reculer le nombre de morts dans les accidents de la route ». Mais, en réduisant de 10 km/h l’impact, beaucoup d’individus vont se retrouver gravement blessés et vont voir le court de leur vie bouleversé par l’accident. Les hospitalisations, traitements et suivit qui interviendront par la suite vont impliquer de fortes dépenses pour les victimes, mais également pour l’état.

Voilà de quoi de se questionner sur la légitimité d’une telle mesure.


Face aux chiffres sur les accidents de la route, difficile de se passer d’assurance. Mieux vaut être prévoyant pour éviter toutes mauvaises surprises.

Bien évidemment, l’assurance auto permet, selon les garantis souscrits, d’indemniser les dégâts matériels causés à votre véhicule et également aux autres. De la même manière, c’est l’assurance auto qui prend en charge, toujours en fonctions des garanties souscrites, les dommages corporels que vous pourriez subir ou causé à autrui.

Pour compléter ces garanties, certains contrats de prévoyance prévoient le versement de rentes mensuelles à vie. Elle couvre un assuré de la perte de revenu dans son foyer à la suite d’un accident impliquant une incapacité à exercer son métier ou un autre. Cela semble une bonne idée que de se protéger contre les accidents graves qui ne vous tuent pas, mais rendent le reste de votre vie bien compliqué.

Il existe d’avantages de solutions pour bien vous protéger contre les dangers de la route. Renseignez-vous !

Sources de l’article : bonne-assurance.com
-          http://www.linternaute.com/auto/accident/guadeloupe/region-01
-          http://www.guadeloupe.franceantilles.fr/loisirs/sortir/projet-57-une-exposition-et-un-livre-449907.php
-          http://www.guadeloupe.franceantilles.fr/actualite/politique/le-gouvernement-abaisse-a-80-km-h-la-vitesse-sur-les-routes-secondaires-465508.php

vendredi 26 janvier 2018

protegeons les coraux

ENVIRONNEMENT - C'est devenu pour vous un réflexe. Une fois le parasol planté, la serviette posée et le maillot enfilé, c'est le moment d'étaler la crème solaire, indice 50 de préférence car vous avez la peau fragile. Une fois protégé(e) et réchauffé(e) par les rayons du soleil, vous n'hésitez pas à vous jeter à l'eau et tant pis s'il faut remettre une couche de crème ensuite.
Savez-vous qu'ainsi, une partie de cette protection solaire se déverse dans l'océan et le pollue? "Le premier polluant chimique en été, c'est la crème solaire qu'on se met sur la peau", alertait sur Franceinfo au début du mois Guillaume Barucq, médecin généraliste, adjoint au maire de Biarritz à l'environnement et auteur de "Surf Thérapie".
Blanchiment du corail
Plusieurs études montrent en effet que certains composants des crèmes solaires ont un impact néfaste sur les espèces marines et végétales des océans. En 2008, une étude publiée dans la revue Environmental Health Perspectives montrait qu'au moins quatre ingrédients, le paraben, le cinnamate, le benzophénone ainsi que des dérivés du camphre, peuvent tuer les coraux.
Depuis, d'autres études sont venues établir le même constat. Selon une étude des Archives of Environmental Contamination and Toxicology de 2015, l'oxybenzone des crèmes solaires entraîne le blanchiment du corail, et par ce phénomène celui-ci rejette les organismes symbiotiques qui le composent et perd sa couleur. "Cela cause d'étranges déformations dans les tissus du corail et entraîne les larves à se recouvrir de leur propre squelette, dans leur propre cercueil", souligne sur le Guardian Craig Downs, l'un des auteurs de cette étude.
4000 à 6000 tonnes de crème chaque année dans l'océan
C'est sans compter l'impact potentiel que peuvent avoir les crèmes sur le phytoplancton ou les autres espèces marines, poissons, dauphins ou encore baleines, qui doivent les ingérer d'une manière ou d'une autre.
Chaque année, entre 4000 et 6000 tonnes de crème solaire seraient déversées dans les mers et océans. On ne connaît pourtant pas encore toutes les conséquences de cette pollution. "La recherche ne va pas assez vite. Il convient d'appliquer le principe de précaution, dans la mesure où on ne connaîtra réellement les effets néfastes que dans 10 ou 15 ans", affirme auprès de Franceinfo Nicolas Imbert, directeur exécutif de Green Cross France.


IBORISOFF

Faut-il pour autant arrêter de se tartiner la peau? Évidemment pas. La crème solaire est indispensable pour se protéger des UVA et des UVB nocifs pour la peau. Ces seconds sont responsables à 90% des cancers de la peau.
Crèmes à filtres minéraux
Mais il est possible de choisir une protection solaire qui ne tue pas, ou moins, les océans. Pour cela, il faut choisir des crèmes sans composants chimiques mais avec des filtres minéraux, qui eux sont biodégradables. Ceux-ci sont, selon certains spécialistes, aussi efficaces que les filtres chimiques. Contrairement aux crèmes "synthétiques", elles ne contiennent pas d'ingrédients issus de la pétrochimie mais plutôt des huiles végétales.
Ces crèmes à filtre minéraux sont souvent estampillées "bio" . Plusieurs marques, comme Evoa, Algotherm ou Alphanova, "se sont franchement positionnées sur ce créneau et revendiquent, entre autres, le respect des océans par l'emploi des seuls filtres minéraux pour assurer la protection solaire", souligne l'UFC-Que ChoisirVogue fait une liste non exhaustive de certaines de ces crèmes qui ne polluent pas.
Attention, généralement ces crèmes sont un peu plus chères que la moyenne. Autre problème: les indices de protection affichés sont souvent plus élevés que la réalité. Mais c'est aussi le cas pour les autres crèmes solaires. "Les crèmes solaires bio sont aussi efficaces que les crèmes solaires normales. Il peut certes y avoir des écarts de prix, mais ils ne sont pas assez significatifs pour être dissuasifs", résume pour We Demain Nicolas Imbert.
Autre solution, forcément moins coûteuse: réduire l'exposition au soleil en évitant la plage aux heures où le soleil brûle le plus, en se mettant sous un parasol ou en gardant des vêtements sur le corps.
Les océans sont de plus en plus pollués et de plus en plus de causes qu'on ne soupçonnait pas sont découvertes par les chercheurs. A commencer par les microbilles dans certains produits cosmétiques. Récemment, du plastique a même été trouvé dans le sel de table. On ne peut pas se passer de crème solaire comme on se prive d'un gommage pour la peau, mais pour ne pas accentuer la pollution des océans, des solutions sont donc à portée de main.
http://www.huffingtonpost.fr/2017/07/22/comment-choisir-une-creme-solaire-qui-ne-pollue-pas-les-oceans_a_23033499/

L'article est ESSENTIEL: en tant que plongeur, on a un plaisir fou à admirer tous ces coraux. 
De Plus la barrière de corail existe pour limiter l'érosion des îles. 
Je ne me mets pratiquement pas de crème, évite la position steak à griller, tout le monde y trouve son compte.
Ou sinon: demander une crème minérale en pharmacie, elle n'abimera rien du tout.