lundi 4 janvier 2016

Jour J

Premier arrêt: six jours, une bronchite

Et une victime potentielle qui s'est fait renverser sur un passage piéton.
Le seul hic, c'est que le médecin de victime n'intervient qu'un an après au moins, et qu'il faudrait au moins 50  victimes "sur le feu" pour pouvoir vivre de ce travail

2è: arrêt 12 jours suite à une intervention délicate.

Heureusement (!) avec la crise, mes patients sont plus au chômage et n'ont évidemment pas d'arrêt maladie, ce qui coûte moins cher à la Sécu (si vous n'êtes pas d'accord, c'est que vous ne fonctionnez pas comptable sacrebleu!)

Un arrêt chez une fonctionnaire, ça ne compte pas, c'est un régime spécial.

Un arrêt de trois jours chez une patiente souffrant burn out;  elle finira son arrêt chez un autre médecin.

A demain pour de nouvelles aventures!

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